Permanent mais pas définitif...

Dans le centre Eden Beauté, diverses prestations sont proposées, articulées autour de la technique de dermopigmentation. Ni plus ni moins qu’une forme de tatouage – qui reste toutefois temporaire –, la dermopigmentation est réalisée par des professionnels agréés par l’intermédiaire d’aiguilles ultrafines. Des pigments minéraux ou organiques, aux normes CE et testés en laboratoire pour prévenir tout risque d’allergie, sont injectés dans les couches superficielles du derme pour une longévité de 1 à 2 ans selon les peaux. Bien évidemment, tous les inconvénients du maquillage standard sont évités : pas de coulure/bavure, le maquillage reste en place aussi bien après une journée à la mer qu’une séance de sport et le matin, vous êtes déjà prête et pomponnée dès le saut du lit ! Technique quasiment indolore, la cicatrisation est rapide. Par ailleurs, les micros-piqûres stimule la circulation sanguine et augmente l’activité cellulaire : ainsi, les ridules s’estompent, notamment autour des lèvres.
 

Plein les yeux… mais pas que !

Karine Long, gérante de l’Eden Beauté et formatrice, s’attache à proposer des rendus tout en subtilité et en finesse, grâce à un savoir-faire précis. C’est ici à une vraie professionnelle que vous aurez à faire, qui saura prendre le temps de vous écouter pour réaliser la prestation idéale au naturel. Contours de l’œil et des lèvres (eyeliner et Smoky Eyes, bouche 3D ou contour), sourcils poil à poil poudrés et réalistes, mais aussi aréole mammaire redessinée (pour corriger les effets inesthétiques d’une chirurgie par exemple), cicatrices atténuées (camouflage ou New Needling Amiea Vytal)… Véritable professionnelle, Karine Long saura aussi accompagner les vocations en proposant des formations par petits groupes ou en cours privé individuel et vous enseignera tous les conseils et les secrets – après un passage obligatoire par un stage hygiène et salubrité – pour faire de vous une véritable experte du Maquillage Permanent.

                                                                                                                                                                         article du magazine "PUBLIC"